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Burn-out - Hypnothérapie et TCC à Reims
Dorothée Simon
9/14/202512 min read


Le burn-out se construit rarement en un instant. Le burn-out est un processus lent, souvent invisible au début. Il s’installe lorsque les exigences deviennent plus fortes que vos ressources. Vous donnez alors plus d’énergie, de temps et d’attention que ce que vous parvenez à récupérer en repos, en soutien, en reconnaissance ou en sens. Les efforts s’accumulent, les attentes s’empilent, et les ressources nécessaires pour compenser ne suivent plus. C’est un état qui se développe dans le temps, quand vous fournissez plus que ce que vous êtes réellement capable de fournir sur la durée. Le corps et l’esprit tiennent un moment grâce à la volonté, mais ce déséquilibre constant finit par user vos réserves jusqu’à l’épuisement.
Ce n’est pas seulement la charge de travail ou le nombre d’heures qui pèsent. Le burn-out apparaît aussi quand vous avez peu de contrôle sur ce que vous faites, quand la reconnaissance est absente, quand vous vous sentez traité de manière injuste ou isolé dans vos responsabilités. Le décalage entre vos valeurs profondes et celles de votre environnement joue un rôle tout aussi déterminant. Si vous avez le sentiment que vos actions vont à l’encontre de ce en quoi vous croyez, ou qu’elles ont perdu leur sens, l’épuisement s’accélère.
Peu à peu, cette combinaison use votre énergie physique, fragilise vos émotions et entame votre confiance. Vous continuez d’avancer, vous compensez, vous serrez les dents, jusqu’au jour où vous constatez que vous n’y arrivez plus. Le burn-out n’est pas une faiblesse personnelle mais le signal que le déséquilibre dure depuis trop longtemps. Il touche le corps, le cœur et l’esprit, et il peut se manifester dans plusieurs domaines de la vie : au travail, dans la parentalité, dans l’accompagnement d’un proche, dans les études, dans l’engagement militant ou même dans le sport.
Les différents burn-out
Le burn-out professionnel est le plus connu. Vous vous levez le matin avec la sensation que chaque journée de travail sera un poids à porter. La fatigue ne disparaît plus, même le week-end ou pendant vos congés. Au début, vous entendez le réveil et vous trouvez encore la force de vous lever, de vous doucher, de boire un café et de partir travailler. Mais plus les jours passent, plus ce simple enchaînement d’actions devient difficile, comme si chaque geste coûtait une énergie que vous n’avez plus. Vous vous détachez de vos missions, parfois avec du cynisme, comme si vous fonctionniez en pilote automatique. Vos performances chutent et vous avez l’impression de ne plus être efficace. Ce n’est pas seulement le nombre d’heures qui épuise, mais aussi le manque de reconnaissance, l’absence de soutien ou la perte de sens. Retrouver de l’équilibre suppose de clarifier vos priorités, de réduire les attentes irréalistes et de reconstruire vos ressources par le repos, les relations et le sens.
Le burn-out parental se reconnaît dans ces scènes de vie que vous connaissez peut-être trop bien. Le matin commence souvent avant même que le réveil ne sonne, avec un enfant qui crie parce qu’il ne veut pas s’habiller. Vous préparez le petit-déjeuner et pendant ce temps un frère et une sœur se chamaillent pour un jouet ou un détail. Vous demandez à votre enfant de mettre ses chaussures, une fois, deux fois, trois fois, et rien ne se passe. Vous répétez encore, votre voix monte, mais vous avez le sentiment de ne pas être entendu, de ne pas savoir vous faire écouter. Et le temps file. Vous regardez l’horloge, la boule au ventre, car vous devez aussi penser à déposer les enfants à l’école puis courir au travail.
Ces tensions ne s’arrêtent pas à la porte de la maison. Une fois la journée commencée, vous jonglez entre vos responsabilités professionnelles et les messages de l’école, les rendez-vous médicaux, les activités extrascolaires à gérer. Le soir, tout recommence. Les devoirs qui traînent, les disputes entre frères et sœurs, la fatigue accumulée qui rend chaque négociation encore plus lourde. Vous vous surprenez à perdre patience, à crier plus fort que vous ne l’auriez voulu, à dire des phrases que vous regrettez aussitôt. Et après chaque explosion, la culpabilité tombe, comme une chape de plomb.
Le burn-out parental se nourrit aussi de l’isolement. Vous essayez de tout gérer seul, parfois parce que vous n’avez pas de relais, parfois parce que vous voulez être le parent parfait. Vous vous dites que vous devez réussir, que les autres y arrivent bien. Alors vous accumulez les tâches : accompagner aux activités, organiser les sorties, préparer des repas équilibrés, suivre les devoirs, écouter les histoires du soir, tout en tenant la maison et parfois un travail exigeant. Vous vous coupez de vos propres besoins, vous n’avez plus d’espace pour souffler, plus de moment à vous. Et un jour, vous vous rendez compte que même lorsque vos enfants rient ou vous serrent dans leurs bras, vous ne ressentez plus cette joie immédiate. Ce n’est pas l’amour qui s’est éteint, c’est votre énergie qui a été consumée par des exigences trop fortes, par une volonté de tout contrôler, sans ressources suffisantes pour tenir sur la durée.
Le burn-out des aidants est souvent invisible car il est masqué par le dévouement. Vous vous occupez d’un parent malade, d’un conjoint atteint d’une pathologie lourde ou d’un enfant en situation de handicap. Chaque jour est rempli par les soins, les rendez-vous médicaux, les démarches administratives. Vous répondez aux besoins constants de l’autre et dans ce mouvement vous oubliez les vôtres. Votre vie personnelle disparaît, vos loisirs s’éteignent, vos amis s’éloignent parce que vous n’avez plus le temps de les voir. Vous commencez à avoir des douleurs physiques, des nuits agitées, un sommeil haché. Parfois une colère monte contre la personne que vous aidez, mais immédiatement après, la honte vous écrase. Cet ascenseur émotionnel devient lui-même un facteur d’usure. Vous êtes pris dans un rôle où les exigences sont permanentes, sans pause possible, et où les ressources de réconfort, de soutien ou de reconnaissance manquent cruellement. Le don de soi se transforme alors en sacrifice.
La fatigue de compassion touche ceux qui travaillent chaque jour avec la souffrance des autres. Les infirmières, les médecins, les enseignants, les psychologues, les travailleurs sociaux, les pompiers. Vous écoutez les récits de vies brisées, vous assistez à des drames, vous portez des douleurs qui ne sont pas les vôtres. Au début vous trouvez du sens à cette mission. Mais les histoires s’accumulent et finissent par vous habiter. Vous rentrez chez vous et vous continuez à y penser, les visages et les paroles reviennent dans vos rêves. Pour vous protéger, vous éteignez vos émotions. Vous continuez à soigner, à enseigner, à intervenir, mais sans chaleur. Vous êtes présent mais comme coupé de vous-même. Vous vous surprenez à réagir avec irritabilité, à manquer de patience là où autrefois vous débordiez d’empathie. Ce n’est pas que votre cœur est devenu froid, c’est qu’il est épuisé. Vous avez donné plus d’écoute et de compassion que ce que vos ressources émotionnelles pouvaient supporter, et en retour vous n’avez pas eu assez de temps ni de reconnaissance pour vous régénérer.
Le burn-out académique frappe souvent en silence. Quand je parle du burn-out académique, je ne parle pas seulement de la fatigue d’un étudiant face à ses cours ou à ses examens. Je parle d’un état qui peut devenir beaucoup plus intense, et je pense ici à vous si vous êtes étudiant en médecine, plus particulièrement interne. Vos journées commencent souvent avant le lever du soleil et se terminent tard le soir, parfois après une longue garde. Vous enchaînez les consultations, les visites, les urgences, tout en gérant aussi les tâches administratives. Le repos est rare, parfois réduit à quelques heures volées sur un lit de garde inconfortable. Dans ces conditions, je sais que vous pouvez avoir à prendre des décisions importantes alors que votre corps est vidé et que votre esprit lutte pour rester clair. Vous continuez malgré tout, parce que votre formation l’exige et parce que vous voulez être à la hauteur de la vocation qui vous anime.
Ce qui épuise n’est pas seulement le temps passé à travailler. Vous êtes encore en apprentissage, mais on attend déjà de vous une implication totale et une autonomie presque complète. Vous êtes entré dans ces études avec le désir sincère d’apprendre à soigner et à aider, mais vous découvrez un rythme qui use vos forces. Le plaisir d’apprendre s’étouffe sous la fatigue accumulée et chaque nouvelle tâche devient une montagne à gravir.
Et si vous n’êtes pas interne mais étudiant dans une autre filière, je sais que vous pouvez reconnaître une partie de ce que je décris. Vous passez des nuits à réviser et au matin vous avez l’impression de n’avoir rien retenu. Vous restez des heures devant un mémoire ou une thèse sans réussir à écrire une ligne. Vous regardez vos camarades et vous croyez qu’ils réussissent mieux que vous, plus vite, plus brillamment. À force de comparer, vous perdez confiance en vos capacités. Le travail s’intensifie, les résultats semblent diminuer, et petit à petit l’épuisement prend toute la place.
Parlons de l'épuisement numérique. le petit dernier arrivé sur le marché du burn-out...
Vous commencez votre journée par un premier mail, vous enchaînez par une visioconférence, puis une autre et encore une. Vous passez vos heures à parler à un écran, caméra allumée, avec votre propre reflet qui vous observe en permanence. Vous avez la sensation d’être jugé sans cesse, même par vous-même. Petit à petit, votre concentration s’effrite, vos yeux piquent, vos épaules se tendent. Les notifications tombent sans arrêt, les messages s’accumulent et vous essayez de répondre à tout immédiatement, comme si vous deviez être disponible à chaque instant.
Je pense à vous si vous êtes cadre ou manager. Même en vacances, vous emportez votre ordinateur, votre téléphone, et avec eux vos réunions en visioconférence et vos centaines de mails. Vous dites à vos équipes « je suis en vacances mais joignable, envoyez-moi un mail ou appelez-moi » et vous croyez montrer ainsi votre engagement (ou le bon exemple). En réalité, vous ne vous coupez jamais. Vous êtes physiquement sur une plage ou dans une maison de campagne, mais mentalement vous êtes encore enfermé dans vos dossiers et passez à côté de votre vie personnelle. Vous ouvrez votre boîte mail le matin, vous répondez à une réunion improvisée au milieu d’une journée qui devait être consacrée à votre famille, et le soir vous finissez la tête lourde, vidé, comme si vous n’aviez jamais quitté le bureau. Les moments de repos sont saturés par la technologie et au lieu de retrouver votre souffle, vous vous épuisez davantage.
Le burn-out sportif, quant à lui, détruit une passion qui semblait intouchable. Un nageur de haut niveau se lève avant l’aube, plonge dans l’eau, parcourt des kilomètres de bassin. Au début cette discipline est sa fierté, son identité. Mais à force de répéter les mêmes gestes la fatigue s’accumule, les douleurs s’installent, les performances stagnent. Chaque plongeon devient un effort insurmontable. La piscine, autrefois refuge, devient une prison.
Dans le patinage artistique, l’exigence est différente mais tout aussi écrasante. Des heures passées sur la glace, des figures répétées sans fin, des chutes à répétition. Chaque compétition impose une perfection esthétique et technique. La moindre erreur est vécue comme une catastrophe. L’enthousiasme s’efface, remplacé par la peur de rater. Ce qui était une passion devient une contrainte. Le corps crie, mais l’esprit est déjà à bout.
Dans ces disciplines, comme dans beaucoup d’autres, le corps continue parfois par habitude mais l’esprit, lui, a déjà cédé. Vous vous accrochez parce que vous ne savez pas faire autrement, parce que votre vie entière est organisée autour de ce sport, parce que votre identité est celle d’un athlète. Mais à l’intérieur, la passion s’éteint, remplacée par l’usure et la peur. Le burn-out sportif n’arrive pas uniquement quand le corps lâche, il arrive bien avant, quand l’esprit crie qu’il n’en peut plus alors que vous persistez à avancer.
Il y a t-il des profils psychologiques plus exposés au burn-out ?
Quand on parle du burn-out, certains profils psychologiques apparaissent plus vulnérables que d’autres. Cela ne signifie pas que vous êtes condamné si vous vous reconnaissez dans ces traits, mais dans un contexte exigeant, ils peuvent accélérer le chemin vers l’épuisement.
Le perfectionniste est particulièrement exposé. Vous vous fixez des objectifs toujours plus hauts et vous n’êtes jamais satisfait du résultat. Une tâche terminée ne vous apporte pas de soulagement mais ouvre aussitôt la porte aux corrections et aux améliorations. Vous recommencez, vous travaillez plus tard que les autres, car rien ne vous semble assez bien. Déléguer est difficile, car vous pensez que personne ne fera les choses à votre niveau. À long terme, cette exigence permanente finit par user vos ressources.
La personne consciencieuse et investie est aussi fragile face au burn-out. Vous prenez vos responsabilités très à cœur, vous vous sentez obligé de répondre présent, de tenir coûte que coûte. Dire non vous paraît impossible. Si on vous confie une tâche supplémentaire, vous acceptez même si vous êtes déjà débordé. Dans une équipe ou dans une famille, vous portez souvent plus que votre part. En donnant toujours la priorité au devoir avant vos propres besoins, vous vous videz progressivement de votre énergie.
L’idéaliste n’est pas à l’abri non plus. Vous cherchez du sens dans vos actions, vous voulez contribuer, construire, avoir un impact. Quand vous trouvez cette mission, vous vous engagez totalement. Mais si la réalité se révèle décevante, si vos efforts ne mènent pas aux résultats espérés ou vont à l’encontre de vos valeurs profondes, c’est votre énergie intérieure qui s’effondre. L’usure naît alors non pas seulement de la fatigue, mais de la perte de sens.
Le profil empathique et hypersensible est également vulnérable. Vous ressentez profondément ce que vivent les autres. Leur douleur devient parfois la vôtre, leurs tensions vous habitent longtemps après les avoir quittés. Vous absorbez les émotions environnantes au point de ne plus distinguer ce qui vous appartient et ce qui appartient aux autres. Cette générosité émotionnelle vous pousse à donner sans compter, mais elle vide vos réserves affectives à une vitesse invisible.
Le besoin de reconnaissance est aussi un facteur de fragilité. Vous cherchez à plaire, à être validé, et vous avez peur de décevoir. Pour être apprécié, vous dites oui à tout. Pour être respecté, vous dépassez vos limites. Vous finissez par travailler non pas pour ce que vous croyez juste, mais pour obtenir l’approbation extérieure. Cette dépendance vous entraîne à vous épuiser sans le voir venir.
Enfin, le compétitif et le performeur courent un risque élevé. Vous aimez relever les défis, vous vous poussez toujours plus loin, vous enchaînez les objectifs avec l’idée de prouver que vous pouvez. Cette énergie est une force, mais lorsqu’elle n’est pas tempérée, elle devient un piège. La course ne s’arrête jamais et un jour le corps ou l’esprit dit stop, brutalement.
Ces profils possèdent des qualités précieuses, mais quand les exigences dépassent les ressources, ce sont précisément ces qualités qui se retournent et deviennent sources d’épuisement. Le perfectionnisme se transforme en insatisfaction constante, la conscience en charge écrasante, l’idéalisme en désillusion, l’empathie en fatigue émotionnelle, la quête de reconnaissance en dépendance, et la compétitivité en course sans fin.
TCC et Hypnose thérapeutique à reims pour vous accompagner à surmonter le burn-out
Si vous traversez une période de stress intense, de burn-out ou de difficultés émotionnelles, vous n’avez pas à rester seul face à ce que vous vivez. Je vous accompagne à Reims en thérapie comportementale et cognitive (TCC) et en hypnose thérapeutique. Ce sont deux approches complémentaires et reconnues, pour vous aider à retrouver équilibre et sérénité.
La thérapie comportementale et cognitive est une méthode efficace et structurée. Dans mon cabinet de TCC à Reims, je vous aide à identifier les pensées, les croyances et les comportements qui entretiennent votre souffrance. Ensemble, nous travaillons à les comprendre puis à les transformer. Vous apprenez à repérer vos schémas automatiques, à prendre du recul sur vos pensées et à développer de nouvelles manières d’agir. Si vous vivez un burn-out et cherchez une TCC à Reims, cette approche vous donne des outils pratiques et concrets pour reprendre le contrôle pas à pas.
L’hypnose thérapeutique vient enrichir ce travail en mobilisant vos ressources profondes. Contrairement aux idées reçues, l’hypnose thérapeutique n’est pas une perte de contrôle, mais un état de concentration et de détente qui facilite l’accès à votre inconscient. Dans cet état, nous travaillons sur vos blocages, nous apaisons vos émotions et nous renforçons vos capacités d’adaptation. Si vous traversez un burn-out et que vous recherchez une solution avec l’hypnose à Reims, cette approche douce vous aide à retrouver confiance et énergie.
Je vous accompagne à Reims si vous traversez un burn-out professionnel, un burn-out parental ou un épuisement lié à votre rôle d’aidant. Mon accompagnement associe la thérapie comportementale et cognitive (TCC) et l’hypnose thérapeutique, avec des suivis spécifiques à vos besoins, et sur-mesure, en burn-out TCC Reims et en burn-out hypnose Reims J’accueille également les personnes confrontées à l’anxiété, aux phobies, au stress chronique, aux troubles du sommeil ou aux dépendances. Avec les TCC, vous disposez d’outils clairs et adaptés à votre situation. Avec l’hypnose thérapeutique, vous accédez à vos ressources intérieures pour avancer avec plus de sérénité.
Mon cabinet se situe à Reims et je vous reçois dans un cadre bienveillant et confidentiel. Les séances peuvent aussi se faire en téléconsultation. Chaque accompagnement est personnalisé, car votre histoire et vos besoins sont uniques. Mon rôle, en tant que thérapeute TCC et hypnothérapeute à Reims, est de vous aider à retrouver clarté, force et apaisement, en vous donnant des clés pratiques et en vous reconnectant à vos propres capacités de changement.
À Reims, j'allie Hypnose et TCC, pour votre mieux-être durable. Dorothée Simon, Hypnothérapeute et Thérapeute TCC à Reims
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Thérapies cognitives comportementales (TCC) et Hypnothérapie à Reims, et en téléconsultation sur la France.
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